À travers le feuillage, la lumière s'habille d'ombre,
palette de verts
du plus clair au plus sombre,
trous lumineux,
frisson perpétuel...
Les feuilles dansent
au son du vent,
des voix d'enfants,
et doucement,
au loin,
une partitas de Bach
glissant
sur un piano
absent.
Glenn Gould est mort,
et il joue pourtant,
à mon oreille
secrètement.
L'arbre vivant
fait ses gammes
dans la lumière
virtuose.
Et les ondes
RépondreSupprimerde cette musique céleste
Caressent délicatement
mon âme profonde
Il ne reste alors
qu'un seul geste à faire
Entrer en paix
l'ultime geste