lundi 9 janvier 2012

Si le coeur vous en dit, faites un tour dans mon rêve:

12 commentaires:

  1. Bonjour Nout,
    Un nouveau site " Lecoeurvivant.com" à remplacé Le Sacré Ordinaire.

    Si tu as aimé "Le Sacré Ordinaire" bonne visite à celui-là.
    Une heureuse Nouvelle Année pour toi et ceux que tu aimes.
    Merci pour ton soutien, chaleureusement, Irina

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  2. Merci Irina, je ne manquerais pas d'y faire un tour! Bien à toi, Nout.

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  3. Bonsoir Nout,

    Voici ce que m'inspire votre rêve, pour le moment et en toute hypothèse.... Je me permets de le noter ici car sur votre blog Carnet de rêves il me faudrait ouvrir un compte, Google ou autre, et cela me dis pas grand chose à cette heure.

    Un certain cycle d'apprentissage ( symboliquement : une "année") proposait de fixer un certain savoir, de l'intégrer. Mais cette intégration n'est pas réalisée pour le moment : vous séchez face à l'examinatrice intérieure qui porte sur la situation un regard objectif. On pourrait dire ou penser que le rêve est lui-même cet examinateur/trice objectif. La Grèce antique et sa mythologie évoquent le pays des dieux, du divin sous ses différents aspects. Il s'agissait donc sans doute de faire place en vous à des aspects du divin. Votre condisciple se nomme Diane, Diana en latin, probablement issu de divina = divine (wikipedia) ce qui soulignerait alors la nécessité, pour la femme que vous êtes, d'incarner ces aspects du divin de les accueillir pleinement en vous. De les savoir, non pas sur le bout des doigts mais, plus encore, de les faire chair, en quelque sorte. La croyance concernant les statuettes pourrait représenter la foi ou confiance, l'adhésion, le oui nécessaire pour "donner forme" aux dieux en soi-même, pour en fixer durablement les différents aspects. C'est alors cette adhésion qui permet la croissance de la lumière intérieure, et le directeur (de Conscience, de lumière ?) dispose d'un Rapporteur Doré (en anglais : Golden Retriever) qui accompagne peut-être le disciple "égaré" pour qu'il descende à nouveau dans ses propres profondeurs (ténèbres) afin d'en rapporter la lumière, d'en retrouver le fil doré.

    Vous dites avoir prêté peu d'attention à vos rêves dans la période qui a précédé celui-ci. Peut-être est-ce là ce qui fait défaut à l'élève puisque, la Bible nous le rappelle, Dieu nous parle et nous enseigne dans les songes.

    Amezeg

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  4. Bonsoir Amezeg,

    Je vous remercie beaucoup de me partager votre point de vue sur ce rêve. En ce qui concerne l'adhésion à Google pour laisser un commentaire, j'ai rectifié cela car cela ne me convient pas non plus. Merci de me l'avoir signalé.

    Vous me dites: " le rêve est lui-même cet examinateur/trice objectif" et me vient cette question: comment voyez-vous "le rêve"? N'est-il pas notre conscience débarrassée des filtres divers de l'état de veille? Lorsque le corps est abandonné au sommeil, la conscience, témoin impartial de ce qui est en nous, le rend sous forme imagée, symbolique, langage libéré du mental.

    Vous m'apportez par ce commentaire un élément nouveau que je n'avais pas vu: l'origine étymologique du mot Diana. Peut-être en effet, il existe un blocage actuellement (les "un an" serait une allusion à l'unité?...)lié certainement par ce que fait remonter le rêve et l'archétype de Diane et que je décrits dans ma lecture récemment publiée sur l'autre blog.

    "la nécessité, pour la femme que vous êtes, d'incarner ces aspects du divin de les accueillir pleinement en vous. De les savoir, non pas sur le bout des doigts mais, plus encore, de les faire chair, en quelque sorte."
    Je ressens bien ce que vous dites là car en effet, je retiens beaucoup de choses que j'ai en moi et finalement cet espace, de bout de toile reste mon seul espace d'expression en ce qui concerne le divin. Dans ma vie quotidienne, j'endosse des rôles bien définis, ceux que les gens qui me côtoient attendent et je les remplis sans me plaindre. Un peu comme ce grand chien docile...

    Non seulement, j'ai peu prêté attention à mes rêves (j'en ai écrit certains parce qu'ils étaient très clairs sans prendre la peine d'en chercher le sens), et comme vous le dites en quelque sorte à Dieu lui-même. Je sens aussi que ce regard du rêve m’apparaît toujours bienveillant même su rien n'échappe à sa précision. Il semble que Dieu par le rêve, comme pour m'offrir le repos des épreuves du jour, me dévoile Son Jugement de miséricorde et d'amour. Et qu'il m'offre aussi pleinement la liberté d'y répondre.

    Le lendemain de ce rêve, j'en ai fait un second, comme une suite (mais il semble que chaque songe reprend celui qui le précède...) où je faisais un long voyage sur un fleuve en compagnie d'un homme particulièrement paisible et rassurant. Alors que je me croyais perdue, il me ramenais chez moi...était-ce un nouveau visage du rapporteur doré?...

    Bien à vous

    Nout

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  5. Bonjour Nout,

    «Vous me dites: " le rêve est lui-même cet examinateur/trice objectif" et me vient cette question: comment voyez-vous "le rêve"? N'est-il pas notre conscience débarrassée des filtres divers de l'état de veille? Lorsque le corps est abandonné au sommeil, la conscience, témoin impartial de ce qui est en nous, le rend sous forme imagée, symbolique, langage libéré du mental. »
    Comme l'affirme Marie-Louise von Franz* : "... le rêve ne vous dit jamais ce que vous savez déjà. Il indique toujours quelque chose que vous ignorez, un aspect inconnu de votre personnalité." (*Voyez mon commentaire du 18 septembre 2011, sur L'âme sœur). Ainsi le rêve est objectif, et il n'est pas soumis, en effet, aux filtres et conditionnements de notre regard à l'état de veille. Il nous montre ce que ces filtres et conditionnements nous empêchent, eux, de voir. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles certains fuient les rêves et les décrient pour mieux s'en défendre : parce que les rêves disent la vérité toute nue à ceux qui se racontent une histoire – même une histoire très "spirituelle" – et que les rêves "mettent les pieds dans le plat" ou "découvrent le pot aux roses." Le rêve est une photo sans trucage prise par un photographe intérieur libre et indépendant qui, de ce fait, nous informe objectivement à propos de ceci ou de cela. Le rêve nous dit en somme : "Vois, c'est ainsi." C'est pour cela que je proposais d'assimiler l'examinatrice au rêve lui-même, car on ne peut le duper ou l'impressionner à l'aide d'apparences ou de faux-semblants de réalité (« Je crois avoir assez d'assurance et de culture pour impressionner la prof mais celle-ci me demande de m'assoir face à elle d'un air sévère. ») Le rêve voit au delà des apparences et des histoires que l'on peut se raconter, dont on peut se bercer. Le rêve "examine" la situation, il en donne la photo objective, dans un langage imagé et symbolique. De même, la prof procède à l'examen et donne un avis objectif sur la réalité des connaissances acquises.

    « Je sens aussi que ce regard du rêve m’apparaît toujours bienveillant même si rien n'échappe à sa précision. »
    Je crois que le rêve est bienveillant dans la mesure où il équilibre par son point de vue objectif notre point de vue subjectif si souvent erroné. On se porte mieux dans l’équilibre que dans le déséquilibre. Et l’équilibre permet d’avancer dans la bonne direction, sans doute, celle du bien-être et celle aussi du progrès de la conscience, du progrès de la relation avec « Dieu », avec le Soi. Mais les rêves peuvent être indulgents ou exigeants, selon les nécessités du moment pour assurer cet équilibre.

    « Le lendemain de ce rêve, j'en ai fait un second, comme une suite (mais il semble que chaque songe reprend celui qui le précède...) où je faisais un long voyage sur un fleuve en compagnie d'un homme particulièrement paisible et rassurant. Alors que je me croyais perdue, il me ramenais chez moi...était-ce un nouveau visage du rapporteur doré?... »
    Si le Golden Retriever était un chien psychopompe, cet homme paisible est peut-être est-ce un aspect particulier du psychopompe, à visage humain et masculin cette fois, qui vous aide à ne pas vous perdre au cours de cette navigation intérieure. Son aspect humain signifierait-il qu’il est désormais plus intégré, qu’il est plus proche et plus disponible au service de vos explorations intérieures ? Peut-être,puisque ce rêve fait suite au précédent.

    Amicalement,

    Amezeg

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  6. Merci beaucoup Amezeg pour ce partage éclairant. Si je peux me permettre une nouvelle question: peut-on soi-même, sans l'aide d'un thérapeute, suffire à entendre le message délivré par le rêve. A l'état de veille, il se peut que nous continuions à contourner le message du rêve parce que ce qu'il démontre ne convient pas à nos certitudes présentes?

    "Je crois que le rêve est bienveillant dans la mesure où il équilibre par son point de vue objectif notre point de vue subjectif si souvent erroné. On se porte mieux dans l’équilibre que dans le déséquilibre. Et l’équilibre permet d’avancer dans la bonne direction, sans doute, celle du bien-être et celle aussi du progrès de la conscience, du progrès de la relation avec « Dieu », avec le Soi. Mais les rêves peuvent être indulgents ou exigeants, selon les nécessités du moment pour assurer cet équilibre. "

    Je ne vois pas la bienveillance autrement que dans la vérité. Cet équilibre qu'offre le rêve semble être une soupape de sécurité de l'Être envers lui-même...Quand on dit que tout est déjà là, c'est une vérité incontestable. Le rêve est là pour guider et rectifier la barre. Mais ce "tout est là" n'est pas à prendre comme un laisser-aller mais bien comme un travail intérieur de discernement.C'est aussi ce que m'enseigne je crois ce rêve.

    Au sujet du chien, le nom Golden Retriever fait en effet penser à une sorte de psychopompe, surtout le personnage humain du second rêve.
    Mais quand je vois ce grand chien "blond" placide, qui me semble par nature dangereux (il me fait un peu peur, je crains de ne pouvoir le maîtriser) puisqu'il me fait penser au Cerbère des enfers mais dans une version...castré dois-je avouer. Donc ce chien (et c'est ma prochaine publication) me fait penser aussi à moi. Comme si le rêve voulait me montrer ce que je peux devenir si je n'apprends pas mes leçons! ;)

    Sur ce, je vais retourner voir ce qu'il en est! Bonne nuit...

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  7. « peut-on soi-même, sans l'aide d'un thérapeute, suffire à entendre le message délivré par le rêve. A l'état de veille, il se peut que nous continuions à contourner le message du rêve parce que ce qu'il démontre ne convient pas à nos certitudes présentes?

    Non, d’une façon générale on ne peut interpréter soi-même ses propres rêves sans risquer de passer à côté de quelque chose d’important ou même de s’égarer complètement. Même si avec le temps, suite à une longue fréquentation des rêves on devient davantage capable d’en saisir le sens, des erreurs et des aveuglements sont toujours possibles et se produisent réellement en plus d’une occasion. L’aide d’un tiers expérimenté est toujours nécessaire et précieuse, et ce tiers doit lui-même soumettre ses propres rêves au regard d’une autre personne expérimentée ne serait-ce que parce ses erreurs d’interprétations, s’il en commet, seront d’une façon ou d’une autre mises en lumière par les rêves. Un débutant en la matière risque encore plus de s’égarer grandement, bien entendu, et de projeter sur ses rêves, à son insu, une interprétation qui, pour une raison ou pour une autre, lui convient. Marie-Louise von Franz qui a interprété au cours de sa carrière des dizaines et des dizaines de milliers de rêves l’exprime très bien dans ce passage de « La voie des rêves » que j’ai cité dans mon commentaire du 18 septembre 2011(L'âme sœur).
    On ne peut donc s’improviser interprète de ses propres rêves du jour au lendemain. Le rêve est objectif, mais le rêveur, seul face à son rêve, ne l’est pas suffisamment, ou pas entièrement même s’il est expérimenté.

    Amezeg

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  8. La réflexion sur cette grande difficulté ou impossibilité à interpréter soi-même ses propres rêves a fait sonner en moi, à de multiples reprises, cette phrase lue dans le Yi King : Qui chasse le cerf sans forestier ne fait que s'égarer dans le bois. Voici où on la trouve :

    3. Tchouen / La Difficulté Initiale
    "....Lorsque le destin se présente sous l'aspect de pareils moments, tout demeure encore informe et sombre. C'est pourquoi l'on doit attendre, car tout geste prématuré peut entraîner l'échec. Il est également d'une grande importance de ne pas rester seul. Il faut avoir des auxiliaires pour triompher avec eux du chaos. Mais cela ne veut pas dire que l'on doive demeurer passif à contempler les événements. On doit y mettre la main, en prodiguant partout encouragements et directives.

    Six à la troisième place signifie :
    Qui chasse le cerf sans forestier ne fait que s'égarer dans le bois.
    L'homme noble comprend les signes du temps et préfère s'abstenir.
    Continuer apporte l'humiliation.
    Quand on veut chasser sans guide dans une forêt inconnue, on s'y égare. On ne doit pas vouloir s'évader des difficultés où l'on se trouve, sans examen et sans conseil. Le destin ne se laisse pas abuser. Des efforts prématurés sans la direction indispensable conduisent à l'insuccès et au déshonneur. C'est pourquoi l'homme noble, reconnaissant les germes des événements qui s'annoncent, préfère renoncer à un souhait plutôt que de s'attirer l'insuccès et la honte en cherchant à obtenir à tout prix son accomplissement.
    http://wengu.tartarie.com/wg/wengu.php?lang=fr&no=3&l=Yijing&m=NOzh

    Amezeg

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  9. Cher Amezeg

    Votre réponse et cette citation du Yi-king me renvoie à ma propre réflexion et vient à point nommé...
    En effet, il y a quelque temps je découvrais l'article d’Isabelle Padovani sur son blog de l'éveil intitulé "l'éveil est-il possible sans un guide spirituel?":

    http://kerisahel.blogspot.com/2011/09/leveil-est-il-possible-sans-un-guide_03.html

    Je dirai autrement: à partir de l'éveil peut-on se passer d'un guide spirituel?

    D'autre part, je suis tombé sur le commentaire d'un anonyme sur le blog de mon ami Oliver:

    "Eveil et spiritualité sont deux choses différentes. Il est possible d'être éveillé et d'avoir un égo "rutilant-neuf". Par contre de grands maîtres authentiques seront certainement éveillés mais surtout auront été bien au-delà de l'éveil, par l'usure et la dissolution de l'égo, ils atteindront des états exceptionnels (qui n'ont pas grand chose à voir avec l'état d'un éveillé)... Vacuité, compassion ..."

    http://taovide.blogspot.com/2011/12/peu-importe-le-chemin.html#comment-form

    Tout cela me fait entendre plus profondément encore ce passage du Yi-King (vous noterez que "celui qui chasse le cerf sans forestier" fait étrangement allusion à l'archétype de Diane...) et une réflexion que je me faisais récemment sur l'altérité.

    L'être humain est naturellement un être social et plus encore, comme chaque chose dans l'univers, la particule d'un tout. Pour faire court: le un sans le deux c'est comme l'Aleph sans le beth (voir le dernier post "au commencement"), la relation est forcément source d'éveil. Je m'en rends compte de plus en plus. Disons je l'apprivoise de plus en plus car je suis plutôt une solitaire aimant la solitude... :)

    L'éveil en soi est une compréhension...disons que cette connaissance qui soudain se révèle n'est pas le bout du chemin mais bien le commencement de quelque chose. Un peu comme un chasseur qui trouve la carte de la forêt...mais la carte n'est pas la forêt. Elle n'en est qu'un reflet. Elle n'indique pas les détails, les dangers, ni les difficultés du chemin. Tout cela ne peut être connu que par quelqu'un ayant déjà parcouru ce chemin.

    Cela me rappelle quelque chose que j'avais écrit sur mon ancien blog...
    (http://leveildenout.canalblog.com/archives/2011/02/12/20368318.html)

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  10. (suite)Bref, tout ça me permet de réaliser pleinement ce que vous me dites (surement par expérience) et combien actuellement effectivement, je suis extrêmement seule au milieu de la foule. Ma solitude m'es revenue dernièrement comme une évidence terrible. Lorsque pendant un certain temps, j'ai cessé d'écrire sur ces pages, j'ai constaté que rien dans ma vie, aucune place ne restait pour cette part de moi.
    Ce constat, je le fais intensément en écrivant ces mots; j'en prends la mesure et je ne peux m'empêcher de penser à ce rêve au professeur si sévère.

    Cette examinatrice, le rêve comme vous dites, montre une intransigeance à la mesure du dénie que j'ai fait de moi-même, je veux dire de cette part de moi(la part spirituelle c'est à dire la part Vraie).
    Cette part spirituelle c'est comme un second souffle et l'éveil m'a montré comment respirer enfin et me voila encore à m'étouffer. Seule au fond de moi-même. Ce second souffle n'est rien si il n'est pas partagé.

    C'est sans doute ce qu'enseigne Jésus dans son "aimez-vous comme je vous ai aimé", cette transmission, cette reliance entre les êtres. Ce souffle que permet la relation, le lien. L'éveil n'est qu'un pet de souris si il ne conduit pas, si il n'ouvre pas à l'amour, à l'émerveillement de l'autre. C'est ce cheminement qui exige une grande humilité, l'oubli de soi, l'oubli même de sa compréhension.

    J'ai l'air de m'égarer mais cela rejoint complètement notre sujet. Raconter ses rêves est aussi important que les faire sans doutes. Jung le dit d'ailleurs dans le seul livre que j'ai lu de lui jusqu'à présent: la dialectique du moi et de l'inconscient. Et on est en plein dedans cette dialectique qui permet de regarder un reflet de soi plus juste sans les complaisances qu'on pourrait s'accorder à soi-même ...

    Je ne peux nier l’effet stimulant qu'ont sur moi la lecture de mes propres rêves, ni la richesse du monde intérieur et créatif qu'ils dévoilent. C'est pourquoi j'avais décidé de les rassembler sur cet autre blog, dans l'idée surtout de me contraindre à les écrire afin de ne pas les oublier.

    Je ne peux m'empêcher là, dans l'instant, alors que je vous écris, à peser à celui de cette nuit qui reste flou en général mais dont il me reste une image:

    un jardin en pente jonché de fleurs géantes. Je suis avec une amie (encore) et je cherche celle que je vais prendre pour mettre dans mon jardin. J'ai la sensation que ces fleurs sont très rares, et précieuses. Je m'avance vers elles à la recherche d'une rose mais je trouve une tulipe et je me dis que les tulipes ne tiennent pas quand on les coupe...

    Merci à vous, Amezeg, pour vos précieuses réflexions...

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  11. " J'ai l'air de m'égarer..." Ce n'est pas l'impression que me donne votre réponse, Nout. :-)

    Je vous souhaite de cueillir la rose précieuse et de la planter dans votre jardin.

    Je manque de temps ce soir pour écrire plus longuement.
    À bientôt,

    Amezeg

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    1. Je comprends bien cela et vous remercie déjà beaucoup pour votre attention!

      Bien à vous
      Nout

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