Enfant je savais voir celà, mais aujourd'hui il me semble avoir oublié cet "art" pourtant si simple... Et c'est quand on oublie tout ça que l'on se met à lire des livres, et c'est quand on commence à chercher qu'on finit par se perdre, et c'est quand on est perdu qu'on tourne enfin, à nouveau pour la première fois, nos regards vers le ciel, les nuages, le soleil... Merci pour cet écho, chère Nout !
Tourner son regard vers le ciel, mais dans le ciel il n'y a que les nuages... Les réponses viennent de l'Univers entier à travers nous. C'est donc le vide en nous que nous pouvons consulter. Le vide du ciel, lui, est réservé aux devins.
Inconditionnel adepte du vide, le ciel dont je parle est cet intérieur (microcosmos) dont le ciel extérieur (macrocosmos) n'est qu'un éblouissant reflet...
Bien d'accord Nout, mais le ciel ne risque-t-il pas de nous berner avec sa magnificence ? Un aveugle trouvera des réponse en lui. Dans le ciel (pourtant rempli de vide), ce sera plus dur.
Ce que je veux dire Oliver c'est que TOUT vient forcément de l'intériorité puisque c'est à travers elle que nous percevons le monde.
Donc tu as donc parfaitement raison en disant qu'elle est un chemin rapide. On se laisse "berner" quand on croit à un intermédiaire, quand on croit l'intériorité séparée du monde. On croit qu'on peut s'oublier dans le monde (beauté ou laideur peu importe) alors qu'il est simplement le grand miroir où l'on se reflète.
En fait l'intériorité est le SEUL chemin. Réaliser cela est une libération. On se détend...
La magnificence du ciel EST la magnificence de tout ce qui est (la Tao), dont la conscience qui le perçoit. C'est pourquoi lever le nez et regarder les nuages qui passent permet de revenir à soi.
Je te remercie pour cet échange, car à travers tes mots, je trouve les miens, cher Oliver! :)
Enfant je savais voir celà, mais aujourd'hui il me semble avoir oublié cet "art" pourtant si simple... Et c'est quand on oublie tout ça que l'on se met à lire des livres, et c'est quand on commence à chercher qu'on finit par se perdre, et c'est quand on est perdu qu'on tourne enfin, à nouveau pour la première fois, nos regards vers le ciel, les nuages, le soleil...
RépondreSupprimerMerci pour cet écho, chère Nout !
Oui c'est quand on s'est perdu qu'on tourne les yeux vers le ciel...et les nuages passent!
RépondreSupprimerA bientôt cher Âmi! ;)
Tourner son regard vers le ciel, mais dans le ciel il n'y a que les nuages... Les réponses viennent de l'Univers entier à travers nous. C'est donc le vide en nous que nous pouvons consulter. Le vide du ciel, lui, est réservé aux devins.
RépondreSupprimerBien amicalement,
Oliver
Bonjour Oliver,
RépondreSupprimerInconditionnel adepte du vide, le ciel dont je parle est cet intérieur (microcosmos) dont le ciel extérieur (macrocosmos) n'est qu'un éblouissant reflet...
Chaque pensée, un nuage...:)
Bien d'accord Nout, mais le ciel ne risque-t-il pas de nous berner avec sa magnificence ? Un aveugle trouvera des réponse en lui. Dans le ciel (pourtant rempli de vide), ce sera plus dur.
RépondreSupprimerAvec toute mon amitié,
Oliver
Alors pourquoi ne sommes-nous pas aveugle? :)
RépondreSupprimerLe ciel que je vois n'est-il pas moi?
La réponse est partout et en moi à la fois. Elle est déjà dans la question. Elle est avant d'être posée. Elle est. Je suis.
Il ne s'agit pas de deviner. Il s'agit de contempler...nuance essence-ciel! ;)
Tu as raison, la réponse est dans tout. Il me semblait juste que l'intériorité était un chemin plus rapide. Mais ok, je me trompe.
RépondreSupprimerMerci Nout.
Oliver
Ce que je veux dire Oliver c'est que TOUT vient forcément de l'intériorité puisque c'est à travers elle que nous percevons le monde.
RépondreSupprimerDonc tu as donc parfaitement raison en disant qu'elle est un chemin rapide.
On se laisse "berner" quand on croit à un intermédiaire, quand on croit l'intériorité séparée du monde. On croit qu'on peut s'oublier dans le monde (beauté ou laideur peu importe) alors qu'il est simplement le grand miroir où l'on se reflète.
En fait l'intériorité est le SEUL chemin. Réaliser cela est une libération. On se détend...
La magnificence du ciel EST la magnificence de tout ce qui est (la Tao), dont la conscience qui le perçoit. C'est pourquoi lever le nez et regarder les nuages qui passent permet de revenir à soi.
Je te remercie pour cet échange, car à travers tes mots, je trouve les miens, cher Oliver!
:)
Ta réponse est limpide... Et je n'avais pas encore pris conscience qu'on est tout ce que l'on perçoit.
RépondreSupprimerMerci Nout,
Bien Chaleureusement,
Oliver